Du lundi au mercredi
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Le dimanche
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Un magasin d’actualité qui, un peu à la manière d’un anthropologue, observe nos comportements et s’interroge sans cesse sur la manière dont on a envie de vivre aujourd’hui quand on est urbain et moderne. Que signifie l’évolution de nos comportements ? Quelles sont nos habitudes ? Diffèrent-elles à Londres ou à Tokyo ? Quels objets et usages peuvent nous inspirer là-bas, pour ici ?
Merci est un lieu qui s’envisage comme une réflexion sur la vie quotidienne. On y avance, chemine, on y flâne et vagabonde pour y respirer l’air du temps. Dans un jeu de va et vient perpétuel, le magasin affine sans cesse ses propositions et en dégage des orientations en accord avec ses convictions. Et si l’éphémère côtoie parfois l’essentiel, c’est sous le regard amusé des gens d’ici, comme des visiteurs venus de loin. Catalyseur de l’époque, ce lieu aux allures de maison, débusque et accueille toutes sortes d’idées, d’audaces et de solutions.
Loin d’être un sélectionneur d’objets, Merci est un questionneur de sens. Le beau seul n’a pas sa place ici : sa fonction est sa raison d’être. Dans ses prises de paroles, comme dans ses actes, Merci préfère anticiper et s’inspirer des changements profonds de notre société, plutôt que se laisser guider par la saisonnalité des collections. Merci est un regard vigilant et attentionné porté sur notre quotidien qui participe, du mieux qu’il le peut, à le rendre chaque jour, un peu moins ordinaire.
En cette fin d’année, Merci se métamorphose pour vous transporter dans un univers enneigé. Sous la coupole, un décor d'altitude, des paysages alpins en toile de fond, du bois, des sapins et divers éléments décoratifs, recréent l’atmosphère apaisante et authentique des montagnes.
Pour le plaisir d’offrir ou de se faire plaisir, Merci présente ses coups de cœur de la saison. On y découvre de précieuses pièces en cachemire et laine, de la marque Merci ou d’autres maisons, toutes à sublimer avec notre sélection de bijoux. Mais également les célèbres vestes Cold Breaker, des chaussons sélectionnés avec la plus grande attention, des cosmétiques innovants, et de nombreux livres de cuisine et de décoration à contempler au coin du feu.
L’art de vivre s’invite à table avec une sélection de pièces artisanales idéales pour illuminer les repas de fête : la vaisselle en céramique signée Héloïse Bariol ou Landy Rakoto, les bougies colorées de Putnam Design, et les couteaux 16 knives. Plus original, des lampes fantaisistes comme le modèle Soy de Heliograf. Pour un moment de détente, on retrouve les encens japonais Pull Push et l’emblématique bougie "Ma maison" de Merci.
Nous voici dans les allées d’un magasin-magazine, aux forts accents éditoriaux. C’est un regard engagé sur la société que l’on nous offre ici. Presque un manifeste. Question du sens, retour à l’essentiel, respect du travail artisanal ou encore références à l’art populaire luttent contre l’idée d’un luxe dicté, uniforme, souvent ostentatoire et sans émotion. Adieu le total look, la « déco », l’esthétique sans usage, sans coup de cœur, sans envies, sans mémoire. Chez Merci, c’est un luxe personnel qui s’écrit, un luxe à soi et pour soi, qui se loge dans les détails sublimés du quotidien. Ce luxe là ne se construit pas en un claquement de mood-boards, mais tout au long d’une vie, avec ses aspérités, comme ses sublimités.
Conçu pour être plus accueillant que intimidant, autour de la convivialité et du plaisir, plus qu’un magasin, Merci est un lieu de vie. C’est un lieu où l’on décide de se rendre, une destination, pour son atmosphère unique et ce moment de plaisir global. C’est dans un immeuble du XIXe siècle, autrefois occupé par une maison de tissus d’ameublement et de papiers peints, que s’est installé Merci. Unique en son genre, le store qui occupe tout le bâtiment ressemble à une grande maison. Même les vitrines n’en sont pas et sont occupées par les cafés.
Proposer un art de vivre fidèle à notre époque, sensible et engagé telle est la raison d’être
du magasin du 111 bd Beaumarchais.
Six chaises et une table assortis ? Pas forcément ! Mode, maison ou encore restauration, Merci est un curateur qui questionne et révèle les objets dans le mélange. Le verre Duralex tutoie une assiette Jars Céramistes créée par Pierre Casenove et la cagette plastique dialogue avec une table roulante vintage de Mathieu Mategot. C’est dans l’association et l’opposition (vintage vs contemporain, artisanal vs industriel ou encore cher vs moins cher) que se crée une autre vérité. Une croyance en l’éclectisme que l’on retrouve aux trois étages de Merci. Mobilier, linge de maison, mode femme et homme, restauration, objets d’usage et art de vivre s’y combinent savamment. Leur prix aussi, puisqu’ici, le sage comme l’exceptionnel se mêlent.
Qui aurait cru que ce grand boulevard bordé de boutiques de motos et d’appareils photos deviendrait un quartier synonyme de créativité ? Merci. Et grand bien lui en a pris. En s’installant boulevard Beaumarchais, et en devenant elle-même une destination, l’enseigne a réveillé le haut Marais, cet espace frontière entre les quartiers du Marais, de République et de Bastille où l’on ne faisait que passer, ignorant la beauté de son architecture, de ses balcons et de ses portes cochères caractéristiques du Second Empire pré-Haussmann. Aujourd’hui, les belles adresses ont fleuri et l’on vient s’y restaurer, flâner, découvrir des créateurs et des objets, faire ses emplettes ou son marché, en un mot, vivre, dans un esprit cher à Merci.
Conçu pour être plus accueillant qu’intimidant, autour de la convivialité et du plaisir, plus qu’un magasin, Merci est un lieu de vie. C’est un lieu où l’on décide de se rendre, un "destination store", pour son atmosphère unique et ce moment de plaisir global. On s’y rend pour faire des découvertes, bien sûr, mais aussi pour déjeuner, boire un thé, flâner, tourner les pages des ouvrages du Used Book Café, s’inspirer... À concept étonnant, lieu étonnant. C’est dans un immeuble du XIXe siècle, autrefois occupé par une maison de tissus d’ameublement et de papiers peints, que s’est installé Merci. Unique en son genre, le store qui occupe tout le bâtiment (1500m2 avec à certains endroits 10 mètres de hauteur sous plafond) ressemble à une (grande) maison. Même les vitrines n’en sont pas et sont occupées par les cafés (le Used Book et le Café Noir x Merci). Du rez-de jardin au premier étage (où siège du mobilier, des luminaires, mais aussi de la papeterie, du bain et du linge de maison) en passant par le rez-de-chaussée (mode femme et homme et accessoires), on se sent presque comme chez soi. Certains espaces font figure de symboles, comme la coupole de l’entrée, principal lieu des expositions, inondée de lumière par sa grande verrière. Et, bien sûr, la cour pavée et sa désormais célèbre Fiat 500 rouge. Avanti Merci !
Une dizaine de fois par an, des évènements prennent place sous la coupole, véritable atrium, où les visiteurs de l’enseigne rencontrent ses partis pris. Parmi ces moments : « Imparfait, Nobody’s Perfect » où furent célébrées ces aspérités qui nous rendent tous uniques; et un peu trop effacées par le lisse et la standardisa-tion de la grande distribution. À l’honneur, entre autres créations, l’iconique bocal Le Parfait déformé par la plasticienne Nadia Gallardo ou encore les pichets tordus du souffleur de verre Bernard Heesen.
Côté mode, la réflexion et l’engagement s’exposent aussi. Comme lors de l’événement So Wax autour de l’emblématique tissu africain. À travers la jeune garde de créateurs, comme Maison Château Rouge, Merci faisait découvrir une Afrique contemporaine, loin du folklore auquel on l’assigne parfois. L’exposition « Merci en Rose » célébrait toutes les nuances de cette couleur hybride qui, avant d’évoquer la candeur autant que l’érotisme, fut un symbole de virilité au Moyen âge et de sagesse en Inde. Fidèle à ses habitudes, Merci questionne les multiples identités de ce phénomène, qu’il soit shocking, layette, Barbie ou bonbon, pour une célébration de la Fashion Week (prêt-à-porter automne hiver 2018-2019) version gaie et optimiste.