La Seconde Résidence

Il y a deux ans, Merci dénichait l’écrin idéal pour incarner sa vision de l’art de vivre au quotidien avec son Pied-à-terre, un appartement typiquement parisien entièrement repensé pour devenir le reflet du style, de l’esprit et des valeurs du magasin.

Merci renouvelle l’expérience en inaugurant la Seconde Résidence, qui se fait le nouveau témoin de son savoir-faire.
Depuis son ouverture en 2009, Merci prône un art de vivre marqué par le mélange des genres et l’éclectisme. Mélanger l’ancien et le contemporain, rapprocher deux styles antagonistes, associer un objet produit en série à des pièces artisanales...

Autant de propositions qui incarnent sa vision singulière.

Le Salon, pièce centrale et axe de symétrie de l’appartement.

La Seconde Résidence n’échappe pas à la règle.

Située entre l’île Saint-Louis et l’Institut du monde arabe, elle prend ses quartiers dans un immeuble néo-classique de la fin du 18ème siècle et se déploie sur 120 mètres carrés, avec vue sur la Seine et la cime des platanes.


Un lieu chargé d’histoire que Merci a remis au goût du jour en confiant son aménagement intérieur à Jules Mesny Deschamps, architecte du projet, dont le travail de l’espace se caractérise par une approche moderne, en accord avec les usages actuels. Établissant ainsi un lien entre patrimoine existant et patrimoine vivant, Jules Mesny Deschamps s’affaire à marier l’esprit original des lieux avec une vision contemporaine de leurs usages. Parmi ses partis-pris, celui de proposer un nouveau plan de l’appartement, proche de nos modes de vie contemporains.


Convivialité oblige, l’entrée se fait ainsi par la cuisine : une nouvelle façon de vivre et de recevoir, qui s’affranchit des conventions et signe une rupture avec la traditionnelle entrée de service.

La cuisine, l’entrée se fait par là.
La salle de bain, faite de briques et d’éléments de second main.
La chambre Shaker, hommage au style rigoriste de cette communauté de nouvelle-Angleterre.

Un lien entre patrimoine existant et patrimoine vivant.

Après avoir minutieusement fait l’inventaire de tout ce qui pouvait être conservé, restauré et sublimé, Merci s’est débarrassé des éléments vétustes ou des témoignages peu harmonieux des rénovations successives.


La Seconde Résidence incarne ainsi le trait d’union entre le patrimoine existant et le patrimoine vivant, en assumant la rupture entre l’ancien et le nouveau. L’espace devient ainsi un lieu de rencontre entre les différentes époques, cultures et esthétiques, dans lequel plusieurs styles cohabitent et témoignent de l’histoire du lieu. Pour Merci, cela passe aussi par l’invitation d’artistes, designers ou artisans, qui viennent apporter leur touche personnelle à la Seconde Résidence.

Le sol de la cuisine

Marion Graux

La céramiste parisienne réinvente le sol de la cuisine en posant un motif inspiré de la géométrie de l’appartement, qui côtoie le parquet 18ème.

Les moulures Gustaviennes peintes

Sophie Glasser

Sophie Glasser réinterprète les moulures de style Gustavien sur une toile de lin murale, au-dessus de laquelle elle a peint des symboles inspirés de l’environnement de la Seconde Résidence, comme l’eau ou la végétation.